Connaitre les démarches à effectuer en cas d’accident est primordial pour toute personne se déplaçant à vélo. Consultez ci-dessous les bons réflexes à avoir et ce, dès les premières minutes après l’accident.
Les cyclistes sont juridiquement considérés comme des usagers faibles :
Cela signifie que leurs blessures physiques et les dégâts à leurs vêtements ou aides (lunettes, appareil auditif, etc.) sont couverts par l’assurance du véhicule motorisé, même si le cycliste a commis une erreur.
Si la personne en face se montre correcte et présente ses excuses, les assurances peuvent souvent régler la situation à l’amiable, sans plainte ni avocat.
Mais si :
alors il vaut mieux déposer une plainte auprès de la police et contacter un avocat,
même si la police n’est pas venue sur place au moment de l’accident.
C’est pourquoi les photos et les coordonnées des témoins sont essentielles.
La police recherche la partie adverse et rassemble les preuves.
Ensuite, le parquet examine le dossier :
Le juge peut alors imposer, en plus de l’indemnisation, une amende, un retrait de permis ou une peine de prison.
Même si la police n’est pas intervenue sur place, vous pouvez porter plainte après coup.
Cela ne sera jamais retenu contre vous en tant que cycliste.
Vous n’êtes pas obligé.e d’appeler la police, mais c’est fortement recommandé. Leur rapport a une valeur de preuve particulière, plus forte que les simples déclarations des personnes impliquées.
Si vous n’êtes pas d’accord avec un arrangement à l’amiable: déposez une plainte. L’affaire sera alors traitée par la section civile du tribunal de police.
Si vous n’êtes pas d’accord avec un arrangement à l’amiable, déposez une plainte.
L’affaire sera alors traitée par la section civile du tribunal de police.
Suite à visualiser sur le site de Pro Velo :
Via ce lien :
https://www.provelo.org/conseils/accident-bons-reflexes/